Réfection de la place du flambeau et escalier monumental : la Ville emprunte plus de 4 millions $

Par Guillaume Jacob
Lors de la dernière assemblée publique, le Conseil municipal a entériné des règlements d'emprunt qui permettront d'aller de l'avant avec la réfection de la place du flambeau et la construction d'un nouvel escalier entre la rue des Forges et ce parc qui sera réaménagé. Ces deux ouvrages coûteront ensemble 4 075 000 $.
C'était dans les cartons de la Ville pour 2012. Voilà que la première étape vers la réfection de la place du flambeau et la construction d'un nouvel escalier monumental est franchie avec l'adoption des règlements d'emprunt qui permettront leur financement. Ces travaux visent notamment à embellir le quartier touristique du centre-ville.
Les plans et devis des travaux pour la réfection de la place du flambeau sont complétés. Le Conseil municipal a adopté des règlements d'emprunt de 2,5 millions $ et les appels d'offres devraient être lancés bientôt.
Du côté du nouvel escalier, les appels d'offres sont déjà lancés. Finalement, la Ville emprunte 1,575 million pour sa construction. C'est 300 000 $ de plus que prévu, notamment parce que le chantier de l'escalier devra aussi être soumis à une surveillance archéologique. « Ça ne veut pas dire que cette somme va être dépensée. C'est pour prévoir si jamais on devait laisser place à des fouilles archéologiques durant les travaux », explique Pierre Desjardins, directeur de l'aménagement, gestion et développement durable du territoire.
Les travaux pour l'escalier seront lancés en premier, vers avril ou mai. Le chantier pour la réfection de la place du flambeau suivra.
Les travaux se poursuivront durant tout l'été pour se terminer, selon les espérances de la Ville, en automne. Les événements estivaux devront donc s'accommoder du bruit de la machinerie et des va-et-vient du chantier durant le jour.
« On va essayer de coordonner les travaux pour diminuer les inconvénients, notamment pour le Festivoix qui était un utilisateur de la place du Flambeau », souligne Pierre Desjardins.
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