Nous joindre
X
Rechercher
Publicité

Le spectacle grandiose des oies

durée 15h15
26 octobre 2014
1ici

commentaires

ici

likes

 

vues

imprimante
Guy Levasseur
email
Par Guy Levasseur, Journaliste

Victoriaville - « Quand arrive octobre, je ne pense qu’aux oies! », s’exclame Ginette Lemieux Michaud, une photographe qui a développé sa passion sur le tard. L’abondance des oies sur le lac est d’une beauté étonnante.

Cette Victoriavilloise a commencé à consacrer une bonne partie de son temps libre à la photo en 2007. Ce qu’elle aime par-dessus tout, c’est la nature, mais surtout les jeux de lumière du soleil. C’est la raison pour laquelle elle adore les couchers de soleil.

« Je prends des photos proches. Par exemple, en prenant une araignée qui est toute petite, tu ne penses pas qu’elle a du poil aux pattes de même! », lance la passionnée. « L’hiver, vers 15h, la lumière devient dorée, ce qui crée de beaux effets », explique les yeux pétillants Ginette Lemieux Michaud. Elle fait aussi de la macrophotographie, grâce à l’acquisition récente d’un appareil muni d’un zoom 30x.

Ainsi, cette photographe amateure a l’intention de produire un DVD d’une quarantaine de minutes, montrant notamment des envolées au Réservoir Beaudet.

Les oies, toujours les oies

L’arrivée des oies est un spectacle grandiose. On ne se lasse pas de les regarder chaque matin quand elles s’envolent vers les champs pour se nourrir. Au coucher du soleil, elles reviennent pour se reposer.

Ainsi pendant 2 à 3 semaines, ces oiseaux voyageurs logent dans les Bois-Francs, à Victoriaville et même jusqu’à Trois-Rivières. Elles préparent leur départ pour des terres et une température plus accueillantes. D’ailleurs, près de 8000 visiteurs de partout au Québec convergent sur les berges du réservoir Beaudet de Victoriaville pour admirer le spectacle de plus de centaines de milliers d’oies.

Hélène Charland, présidente du symposium d’art ornithologique, a qualifié la présence des oies de « extraordinaire », soulignant que « tous sont au rendez-vous, les gens, les oies et parfois la température.  Les oies sont chez nous, sur un super beau site », a rappelé Mme Charland.

Pour Mme Lemieux-Michaud, nombreux sont les endroits où il est possible de capturer des images hors du commun. Et pas nécessairement besoin d’aller à l’autre bout du monde.

RECOMMANDÉS POUR VOUS


Publié le 7 novembre 2025

La FPJQ part en croisade contre les faux médias sans journalistes propulsés par l'IA

La Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ) lance une première salve contre les faux médias en ligne propulsés par l’intelligence artificielle (IA) dont le contenu n’est soumis à aucune règle déontologique ou éthique. «On a vu l'apparition de médias en ligne qui, essentiellement, ce qu'ils font, c'est qu'ils reprennent le ...

Publié le 7 novembre 2025

Soins intensifs: la voix des proches est cruciale, montre une étude

Des patients hospitalisés aux soins intensifs ont connu un plus grand nombre de jours sans délire quand on leur a fait entendre un enregistrement de la voix de leurs proches, ont constaté des chercheurs américains. Plus précisément, il s'agissait de patients qui avaient besoin d'une ventilation mécanique et à qui on a fait entendre, une fois par ...

Publié le 7 novembre 2025

Opération Nez rouge célèbre ses 40 ans de service à Trois-Rivières

Opération Nez rouge de Trois-Rivières célèbre cette année sa 40e année de service offert dans la région. De plus, la Fondation des Amis des Estacades qui est le responsable de cette campagne de financement fête ses 25 ans.  Les dates officielles où il sera possible de faire appel au raccompagnement  sont le 28 et 29 novembre, 4-5- ...