Les Trifluviens ont le feu vert

Par Guillaume Jacob
Contrairement aux Drummondvillois, les Trifluviens ont tout le loisir de faire pousser leurs tomates et carottes devant leur maison plutôt que derrière.
En fait, la seule obligation consiste à maintenir un dixième de son terrain sous couvert végétal, peu importe la nature des végétaux, indique le porte-parole de la Ville, Yvan Toutant. Bien sûr, l’emprise de la Municipalité, d’une largeur de 3 mètres à partir du bord de rue, doit être respectée.
Un couple de Drummondville lutte présentement pour le droit de cultiver leurs légumes en façade de leur bungalow. La Ville exigeait la destruction partielle du potager parce qu’il contrevenait à la réglementation municipale. Le couple a obtenu un sursis jusqu’en septembre, le temps que le conseil municipal se saisisse du dossier.