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Cégep de Trois-Rivières

À la découverte de la culture entrepreneuriale de Silicon Valley

durée 14h13
17 avril 2015
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Du 15 au 23 mars dernier, une délégation de douze personnes composée de dix membres de la communauté étudiante et de deux accompagnateurs s’est dirigée vers la Californie, plus précisément dans la région de la Silicon Valley, berceau de l’innovation et de l’entrepreneuriat aux États-Unis.

Soucieux d’offrir une formation et un environnement de première qualité à ses étudiantes et étudiants, le Cégep de Trois-Rivières leur permet également d’explorer de nouvelles avenues dans divers domaines, notamment en entrepreneuriat.

«Les missions entrepreneuriales à l’étranger permettent aux étudiants d’élargir leurs horizons et de bonifier leur réseau de contacts. Bref, c’est une nouvelle façon d’apprendre à entreprendre. Pour les membres de la délégation, il est intéressant de comparer les approches d’ici et d’ailleurs en ramenant ce qu’il y a de meilleur», expose Stéphanie Blais, accompagnatrice et responsable de l’entrepreneuriat au Cégep.

Au cours de cette mission entrepreneuriale, les activités ont été toutes aussi enrichissantes que variées. D’ailleurs, les représentantes et représentants du collège ont pu visiter plusieurs entreprises et endroits de renom tels que C100, le garage Hewlett-Packard, l’Université Stanford, Box, Quirky et Google. À noter que la plupart de ces visites étaient accompagnées d’explications d’employés de ces entreprises.

«L’information la plus importante que j’ai retenue de mes rencontres avec les entrepreneurs c’est qu’il ne faut pas avoir peur d’affronter l’inconnu et de prendre des risques», témoigne Audrey Veillette, étudiante au DEC-Bac en marketing.

Culture de l’échec

Ces nombreuses rencontres dans la Silicon Valley auront aussi permis à la délégation de découvrir une toute nouvelle vision de l’entrepreneuriat, puisqu’à cet endroit, il est tout à fait normal de faire des erreurs.

«Nous avons découvert une culture entrepreneuriale méconnue, celle de l’échec. Là-bas, l’échec est vu comme un apprentissage et non une finalité. Il est même célébré. À preuve, certains bailleurs de fonds prêtent de l’argent seulement à ceux qui ont fait des erreurs d’affaires pour plus d’un million de dollars», explique Mme Blais.

«Lancer son entreprise pour finalement arrêter quelques mois plus tard par faute de revenus, c’est le quotidien des jeunes entrepreneurs de la Vallée», ajoute Katherine Martel, étudiante en Gestion de commerces.

Selon Michel Day, accompagnateur et enseignant au département des Techniques administratives, la réussite de cette mission démontre la position de chef de file du Cégep quand il est question d’entrepreneuriat.

«J’ai vu un changement dans l’attitude et la vision des étudiantes et des étudiants au fil de la mission. Je crois que des expériences comme celle-ci sont inestimables», conclut-il. 

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