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Une journée et c’est parti!

durée 12h03
24 juillet 2013
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SAINT-ÉTIENNE-DES-GRÈS - 

Contrairement à une motocyclette à deux roues, il ne suffit que d’une courte formation de sept heures et d’un permis de conduite automobile valide pour piloter un Spyder.

Offert par les écoles de conduite pour motocyclettes reconnues par l’Association québécoise du transport et des routes (AQTR), le cours qui permet de conduire un roadster Can-Am est d’une durée minimale de sept heures. Cette formation, qui comprend trois heures de théorie en classe, deux heures de pratique en circuit fermé et deux heures de pratique sur route, favorise l’adoption d’une conduite sécuritaire, coopérative et responsable sur la route.

Essai en circuit fermé

Les modèles Spyder sont dotés de systèmes de contrôle de la stabilité, de freinage antiblocage, d’antipatinage et d’une servodirection dynamique. Inspirés des technologies automobiles, ces systèmes, jumelés à la conception triangulaire (deux roues à l’avant, une à l’arrière) doivent, en théorie, faciliter le pilotage du roadster Can-Am.

Quoi de mieux que de le vérifier moi-même en circuit fermé. D’entrée de jeu, j’aimerais souligner que je n’ai jamais conduit de motocyclette auparavant et que mon expérience avec le guidon se limite à la bicyclette.

Grâce à la transmission semi-automatique, j’ai pu aisément démarrer la machine sans caler le moteur. Je tourne doucement la poignée de l’accélérateur et c’est parti pour un petit trajet sinueux entre les cônes orange dispersés sur le terrain de stationnement. Je teste d’abord les freins et j’apprends rapidement à appuyer modérément sur la pédale, à basse vitesse. J’avance un peu en ligne droite avant d’apercevoir une première courbe à l’horizon, je braque le guidon et je négocie parfaitement, ou presque, le premier virage. Je poursuis tranquillement le parcours et franchis le fil d’arrivée sans anicroche.

Tout au long de mon court essai, je me sens en contrôle de ma monture. Nul besoin de tenir l’équilibre ou de poser mon pied au sol lors des arrêts. Avec un peu plus de pratique, je suis certaine que je deviendrais rapidement assez à l’aise pour sillonner les plus belles routes du Québec, cheveux dans le vent… sous mon casque.

 

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