St-Amand de nouveau candidate

Par Guillaume Jacob
La députée Danielle St-Amand, a été réélue par acclamation le 1er juin au poste de candidate du Parti libéral dans la circonscription de Trois-Rivières pour les prochaines élections provinciales.
Alors que les rumeurs d’élections reprennent de plus belle, les militants libéraux de Trois-Rivières ont reporté à l’unanimité la députée Danielle St-Amand au poste de candidate pour le prochain scrutin. L’Association libérale n’avait reçu aucune autre candidature.
« Je suis toujours animée par la même passion, a réitéré Mme St-Amand. Je suis ravie de l’appui des militants libéraux et de la confiance qu’ils me portent. »
Danielle St-Amand a été élue députée de Trois-Rivières le 8 décembre 2008, lors d’élections qui avaient redonné une majorité au Parti libéral du Québec. Elle avait remplacé le député de l’Action démocratique du Québec, Sébastien Proulx.
Bilan
Sa réélection en tant que candidate libérale a été l’occasion pour Danielle St-Amand de dresser un bilan de son premier mandat. Elle a énuméré les nombreux projets ayant vu le jour à Trois-Rivières et auxquels son gouvernement a contribué : construction de Boréalis, rénovation de l’église St-James, de l’usine de filtration, du stade Fernand-Bédard, agrandissement du complexe sportif Alphonse-Desjardins et deuxième phase d’agrandissement annoncée du Centre hospitalier régional.
En matière d’économie, Mme St-Amand s’est félicitée d’avoir participé à la venue de Premier Aviation et à aux travaux de réaménagement du port de Trois-Rivières.
Elle s’est aussi réjouie de la mise en place d’un programme de 15 millions $ pour les victimes de la pyrrhotite, et d’une enveloppe de 4 millions $ pour les organismes communautaires de la région.
« J’ai l’ambition de continuer à soutenir les projets porteurs », a-t-elle promis.
Économie et emploi
Fidèle au leitmotiv de son parti, Danielle St-Amand compte faire de l’économie et de l’emploi son prochain cheval de bataille pour la campagne électorale qui se tiendra quelque part dans les 18 prochains mois.
La députée reconnaît aussi que la question de frais de scolarité pourrait aussi être un enjeu d’avant-plan, si les négociations n’aboutissent pas d’ici le prochain scrutin. Quant à la possibilité que les clameurs de la rue ponctuent la prochaine campagne, Mme St-Amand a dit espérer une accalmie. « Il faudra aller en élection quand se sera le bon moment. Il ne faut pas précipiter les choses. »
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