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3 formalités pour changer de vie
Par Texte commandité
La tentation de tout quitter pour changer de vie, de ville, de pays ou simplement de travail vous séduit ? Voici quelques conseils pratiques à suivre pour réussir dans votre entreprise !
1.Changer de ville
Changer de qualité de vie peut simplement se concrétiser par l’achat d’une maison dans une ville voisine, au plus près de la nature. Une fois votre projet d’achat concrétisé, vous allez devoir résilier votre bail. Or au Québec, la chose n’est pas si simple : la loi vous impose d’attendre la date de fin du bail… Vous avez quelques solutions néanmoins pour ne pas jeter le montant de votre loyer par la fenêtre :
- Vous entendre avec votre propriétaire. Avec de la chance, il sera compréhensif et acceptera de vous voir déménager tout de suite. Si c’est le cas, ne vous fiez pas à cette bonne parole. Demandez-lui de signer votre accord stipulant la nouvelle date de fin de bail.
- Lui proposer de céder votre bail à un tiers ou de sous-louer votre logement. Dès son accord, communiquez-lui le nom et les coordonnées du nouveau locataire ou sous-locataire.
Ne pensez pas partir avec vos affaires sans autorisation préalable, le propriétaire pourrait vous réclamer les loyers. Et si le logement subit des dégradations ou un sinistre en votre absence, votre responsabilité sera engagée.
2.Changer de pays
Immigrer au Canada ou aux États-Unis nécessite l’obtention de visas spécifiques selon votre statut et votre objectif. Les autoentrepreneurs par exemple souhaitant un visa de résidence permanente peuvent bénéficier de programmes spécifiques pour le démarrage de leur entreprise, en tant que candidats des provinces ou encore en tant qu’immigrants investisseurs.
Les travailleurs qualifiés bénéficient d’une autre procédure, tout comme les étudiants qui souhaitent résider à titre temporaire.
Le parcours est souvent long et les formalités compliquées à distance. Vous avez intérêt à être accompagné d’un avocat en immigration à Montréal pour aller plus vite.
3.Changer de travail
Le préavis de démission pour quitter son employeur n’est pas encadré par la loi. Celle-ci prévoit seulement un délai raisonnable pour laisser le temps à l’employeur de se retourner. En général, 2 semaines sont admises. Envoyez-lui une lettre dans ce sens après l’en avoir informé à l’oral.
Si votre employeur ne souhaite pas vous garder pendant le préavis, il doit alors vous payer les indemnités de fin d’emploi prévues par le Code du travail tout comme les congés s’il vous en reste à prendre.
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