Celles de la Petite-Rivière et Notre-Dame
30 M$ de Québec pour reconstruire deux écoles du Centre de services scolaire de l’Énergie
Les élèves des écoles de la Petite-Rivière, dans le secteur Saint-Gérard-des-Laurentides et Notre-Dame, à Notre-Dame-du-Mont-Carmel pourront bientôt évoluer dans de nouveaux milieux d’apprentissages sécuritaires, modernes et adaptés à leurs besoins.
La députée de Laviolette–Saint-Maurice, Marie-Louise Tardif, a fait l’annonce aujourd’hui de deux investissements dans ces écoles, en compagnie de Denis Lemaire, directeur général du Centre de services scolaire de l’Énergie.
Le projet retenu pour l’école de la Petite-Rivière, consiste au remplacement partiel (conservation du gymnase et des superficies afférentes) avec ajout d’une classe (total de 9 classes).
En ce qui a trait à l’École Notre-Dame, il s’agit du remplacement partiel de 14 classes à l’école située dans l’ancienne partie pour en faire une école de 23 classes.
Les projets s’inscriront dans la nouvelle vision gouvernementale pour une « nouvelle génération d’écoles », dévoilée à l’hiver 2020 par le premier ministre et le ministre de l’Éducation. Inscrite dans une perspective d’intégration à la communauté et de développement durable, cette nouvelle génération d’écoles est adaptée aux méthodes d’enseignement modernes.
Les espaces communs favorisent la socialisation et le sentiment d’appartenance des élèves.
Les nouvelles écoles arborent également une toute nouvelle identité architecturale mettant en valeur des accents de bleu et des matériaux du Québec, principalement le bois et l’aluminium.
Bâtiments vétustes
Ces projets ont été retenus et priorisés, notamment parce que les bâtiments sont tellement vétustes qu’il devient plus rapide, économique et sécuritaire de les détruire pour ensuite les reconstruire, offrant ainsi aux élèves et au personnel des écoles de qualité, saines et stimulantes.
« Notre-Dame-du-Mont-Carmel connaît une croissance démographique importante, souligne Mme Tardif. L’espace est beaucoup trop restreint dans l’ancienne partie. Et Petite-Rivière se trouve aussi à l’étroit. En 2019, les deux écoles ont fait l’objet d’importants travaux de renforcement de structure. Il s’agissait de solutions temporaires, nous allons y remédier de façon permanente. Je me réjouis des sommes accordées pour notre centre de services scolaire. Douze projets de reconstruction sont annoncés cette année et nous en avons deux. Comme partout au Québec, les enfants méritent ce qu’il y a de mieux : des écoles, modernes, lumineuses et sécuritaires où ils peuvent apprendre et socialiser en toute quiétude. Grâce à cette mesure qui vise le remplacement des bâtiments vétustes, nous pourrons éliminer les écoles désuètes et rafraîchir les infrastructures, mettant ainsi en place toutes les bases nécessaires à l’atteinte de la réussite éducative. »
« C’est avec une immense joie que nous accueillons ces investissements majeurs autorisés par le ministère de l’Éducation (MEQ), ajoute M. Lemaire. Grâce à la mesure « remplacement d’un bâtiment » du gouvernement, le quotidien de nos élèves et membres du personnel des écoles de la Petite-Rivière et Notre-Dame à Notre-Dame-du-Mont-Carmel changera complètement. Ayant démontré les besoins urgents de ces milieux, nous sommes fiers que 2 des 12 projets autorisés par le MEQ dans toute la province, se concrétiseront sur le territoire du Centre de services scolaire de l’Énergie. Cela envoie le message que les milieux ruraux peuvent aussi accéder à ces infrastructures de qualité, même si la population est moins nombreuse qu’en milieu urbain. Peu importe où ils vivent, tous nos élèves méritent des écoles où l’environnement favorise leurs apprentissages et le développement de leur plein potentiel. »
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